Pas effrayées pour un sou par les animaux du couloir. Valentine s’est même emparée de la peau de panthère qu’elle a juché sur sa tête, s’enroulant les pattes sur les épaules comme un guerrier numide.
mardi 16 juillet 2013
Vendredi 5 juillet 2013. 20h20.
Par Xavier Houssin le mardi 16 juillet 2013, 23:27
jeudi 11 juillet 2013
Vendredi 5 juillet 2013. 16h10.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:28
Nos places dans le Paris-Granville étaient réservées, mais elles étaient dispersées dans tout le wagon. Profitant d’être en avance, nous avons occupé d’office un carré et le fauteuil d’à-côté. Au fur et à mesure que les voyageurs montaient, Amélie négociait les échanges. S’il vous plaît vous accepteriez de vous installer plutôt ici ? Là ? Elle s’est montrée plus que diplomate et les gens, finalement, assez conciliants. Nous avons donc pu déplier la nappe, sortir les couverts, les assiettes et les flûtes à champagne et déballer le pique-nique acheté le matin : jambons crus et salades, pommes chips, cerises. Nous avions passé Versailles que nous trinquions au Champomy. Grand succès… Elles ont beau traverser des océans en avion, sillonner des pays en voiture, c’était la première fois qu’elles prenaient le train.
Vendredi 5 juillet 2013. 10h00.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:27
Tu devrais raser ton espèce de barbe, m’a dit Camille. Je l’ai fait.
Jeudi 4 juillet 2013. 23h10.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:27
Au réveil, les filles étaient juste un peu chiffonnées par le décalage horaire. Brigitte et Bruno, leurs grands-parents de Versailles sont venus les chercher pour une balade au parc Montsouris. On vous les ramène à midi, promis ! J’avais donné du pain sec pour les canards. La journée a passé comme un souffle. Jérôme nous a rejoint pour le déjeuner à La robe et le palais. Nous avons fait un tour en bateaux-mouches, bu une limonade place Dauphine avant qu’Amélie n’emmène Camille chercher Gabrielle, sa filleule, chez la nourrice. Moi, j’avais embarqué Victoria et Valentine, en bus, jusqu’à la Tour Eiffel. Drôle de faune là-bas, gravitant au milieu des touristes et des vendeurs à la sauvette. Mais les deux marchaient la tête en l’air. Ravies. Nous avons traversé le quai Branly pour faire un, deux, trois, quatre tours sur le grand manège des chevaux de bois. Chacun s’est retrouvé rue Marmontel, chez Marion et Jérôme, pour un dîner de croque-monsieurs et de salades. Avec Angel aussi, le parrain de Victoria qui ne voulait pas rater le passage de sa filleule à Paris. Soirée gaie et affectueuse. Gabrielle qui, pour une fois, ne se trouvait pas au centre de toutes les attentions, était un peu étonnée. Mais du haut de ses deux ans, elle a pris le parti d’en rire et comme le rire lui va bien, elle a récupéré tout son monde. Angel nous a raccompagnés dans le XIVe. Comme nous remontions avec lui à pied rue Daguerre, il a offert des glaces…
Mercredi 3 juillet 2013. 22h50.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:26
Le taxi en rentrant dans Paris a remonté le boulevard Malesherbes. Tiens, a dit Victoria, c’est le même qu’au Monopoly. Nous avons déballé une partie des valises, installé les couchages. Grignoté des sushis dans l’appartement. Et si nous allions prendre une glace rue Daguerre ?
Mercredi 3 juillet 2013. 18h40.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:24
Derniers rangements dans l’appartement. Le vol de Mexico était annoncé avec une heure d’avance. J’ai vite été chercher Amélie place Paul-Painlevé. Nous avons pris le RER juqu’à Roissy. Longue attente au terminal 2 E. Après je ne sais combien d’avions remplis de Japonais, celui de Camille, Victoria et Valentine s’est enfin posé.
Mardi 2 juillet 2013. 23h30.
Par Xavier Houssin le jeudi 11 juillet 2013, 21:24
Je ne me rase plus ou plus vraiment depuis déjà trois semaines. Juste un coup de tondeuse. Je suis hirsute, mais j’ai envie de garder un peu cette broussaille. Je suis allé chez le coiffeur pour donner le change. Déjeuner avec Christine en terrasse à l’Alouette, tout près du Monde. Elle a entamé une série de papiers été pour le supplément TV. Des « rétro reportages » : les émissions littéraires, de Lectures pour tous, Italiques et Apostrophes jusqu’à La grande librairie ou Bibliothèque Médicis ; la variété avec un retour sur Trente-six chandelles, Le petit conservatoire de Mireille ou L’école des vedettes, la Star academy des années 1950… Elle est ravie. Je la comprends. J’avais rendez-vous avec Raphaëlle pour pour lui faire part de mes souhaits de rentrée. Florence voulait me voir aussi pour la littérature étrangère. Nous sommes allés au Havane prendre un café. Elles m’ont pressé toutes les deux de leur proposer des sujets qui sortent un peu des critiques habituelles, des portraits. Il faudrait que tu réfléchisse à des ensembles, à des Traversées, des Forums... Je vais m’efforcer. Mais j’ai du mal à associer les livres. J’ai toujours peur d’en desservir un ou de les noyer dans des débats ou des généralités d’habillage. C’est tout mon rapport à la critique. Je cherche avant tout, et je dirais presque : seulement, à donner envie de lire. Et cela me paraît déjà tellement difficile dans des formes « classiques ». Pris un verre avec Pascale à la Perle. Nous avons fait traîner un peu nos histoires et nos points communs. On se reverra à la fin de l’été. J’ai été retrouver Amélie au J’Go. Nous avons dîné rue Danville, dans le nouveau restaurant qui ouvrait juste ce soir. Des gens charmants, une cuisine simple et fraîche. Cela s’appelle Aux enfants gâtés.
mercredi 10 juillet 2013
Lundi 1er juillet 2013. 20h15.
Par Xavier Houssin le mercredi 10 juillet 2013, 22:45
J’ai déjeuné avec Diane à l’Oenosteria. Déroulé son programme de rentrée chez Belfond. J’ai retenu le nouveau Jordi Soler, Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres, où il rend, semble-t-il, un drôle d’hommage à Artaud entre le Mexique, l’Irlande et Paris. Je l’avais rencontré il y a deux ans à Paris pour la sortie de La fête de l’ours qui mettait fin à sa trilogie familiale de la guerre d’Espagne (après Les exilés de la mémoire et La dernière heure du dernier jour …). Ce sera le premier roman « différent » traduit en français. J’ai hâte de le lire. Il y a aussi La liste de Freud d’un auteur macédonien qui explore un épisode assez troublant de la dernière année de l’inventeur de la psychanalyse. A voir. J’avais rendez-vous aussi avec Claire pour Buchet. J’ai fait du courrier au Sauvignon en l’attendant. Décidément, j’aime bien cet endroit. Claire m’a parlé du premier roman de Sophie Van der Linden, La fabrique du monde (il s’agit, dans la Chine de maintenant, de la révolte d’une toute jeune ouvrière de dix-sept ans qui, d’harassant travail en court sommeil, ne quitte jamais son usine). Ca m’a fait penser à La salamandre d’Alain Tanner. Qui sait ?
Dimanche 30 juin 2013. 19h40.
Par Xavier Houssin le mercredi 10 juillet 2013, 22:41
Rédigé pour Le Monde un petit papier sur Le lecteur de Jules Verne d’Almudena Grandes. Nous sommes allés sur les quais acheter un beau fuschia blanc « Annabel » et deux grands pieds de lavande pour mettre à la fenêtre de la cour. Journée de rangements. J’ai fait quelques retouches de peinture aussi. Il faut que l’appartement soit prêt à accueillir les filles. Nous ne nous en disons pas grand chose, mais nous sommes terriblement impatients. Et ensemble, et chacun de notre côté.
Samedi 29 juin 2013. 23h00.
Par Xavier Houssin le mercredi 10 juillet 2013, 22:41
A Montparnasse, Amélie m’attendait au bout du quai avec Gabrielle. Marion et Jérôme nous avaient confié la petite pour la journée. Ils visitent des appartements. Ils veulent déménager et cherchent en banlieue ouest. Marion qui travaille à la Défense voudrait en effet se rapprocher de son travail. Quand même, la banlieue : quelle drôle d’idée… A moins d’y être né ou d’y avoir des attaches je comprends mal pourquoi on part habiter dans ce tampon gris d’entre Paris et province. Le pire c’est que je ne les sens pas convaincus. Asnières ? Suresnes ? Neuilly ? Clichy ? Ca ou autre chose. Je sais, cela ne me regarde pas. N’empêche, faire grandir cette gamine dans ce no man’s land. Cela dit, j’étais bien content de leur escapade immobilière. Nous avons déjeuné avec Gabriellle à la maison, puis direction le parc Montsouris. Le tour du lac, le pain aux canards, le manège, les toboggans et le guignol. Les premières années de Marie me sont revenues en bouffées. De dos, un instant, cette course hésitante et ravie dans les allées. Ce petit carré blond voletant sur la nuque… Nous avons fini l’après-midi avec une limonade à la terrasse de chez Péret. Dîner rue Marmontel. Gabrielle n’avait pas du tout envie d’aller au lit. Nous avons questionné Marion et Jérôme. Alors, vous avez vu quelque chose qui vous plaît ? - Oh, pas vraiment….
samedi 29 juin 2013
Vendredi 28 juin 2013. 22h30.
Par Xavier Houssin le samedi 29 juin 2013, 11:55
Thierry Giffard est venu prendre les mesures d’une petite étagère. J’ai acheté une loutre empaillée la semaine dernière et je n’ai pas vraiment place où l’installer. Il rigole. Ah, ça devient difficile ! Regardé les programmes de rentrée : je dois faire mes propositions de papiers à Florence et à Raphaëlle en début de semaine prochaine. J’ai rangé la maison. J’aurais bien voulu passer la tondeuse, mais l’herbe était trempée. Camille, Victoria et Valentine arrivent mercredi soir à Roissy. Nous serons tous à Carolles vendredi. Pourvu qu’il fasse beau.
Vendredi 28 juin 2013. 0h50.
Par Xavier Houssin le samedi 29 juin 2013, 11:54
J’ai commencé mon papier sur Veilletet. Toute son œuvre, rassemblée dans ce volume, tient en sept titres : des romans touffus et inquiets, des essais vagabonds sur sa terre d’attache bordelaise, sur le vin. On y trouve un infini souci des détails qui retient l’émotion, comme on plante des arbres sur les sols instables pour empêcher l’érosion. J’étais invité à Coquelonde. Côtelettes d’agneau grillées à la cheminée et saint-estèphe. Agathe et Margaux nous ont abandonnés à table assez vite. Je n’ai pas tardé à rentrer, j’avais le papier à terminer.
Mercredi 26 juin 2013. 19h10.
Par Xavier Houssin le samedi 29 juin 2013, 11:54
J’ai relu le gros volume des œuvres de Pierre Veilletet paru chez Arléa. Pris des notes. Jean-Pascal est passé vers midi. Il apportait tout un tas de bricoles qu’il était allé nous chercher au magasin Ikéa de Caen. Je te dois combien ? Il est resté prendre un verre. Pas longtemps. Il faut que je prépare à déjeuner aux filles. Agathe est venue avec Margaux une copine de son âge. Elle commence à s’ennuyer seule. Je suis allé voir Georgette. Le Monde était ouvert sur sa table à la page de mon papier sur Ils marchent le regard fier de Marc Villemain. J’ai lu ton article, tu me prêterais le livre ? Nous avons parlé jardin, comme souvent. Des rosiers et des arbres fruitiers. Il faut toujours tailler à trois yeux et couper les tiges au centre si elles sont trop touffues pour laisser entrer le soleil. C’est M. Quézac qui me l’a appris. M. Quézac avait été le contremaître de mon grand-père Joseph chez Kuhlmann. Il était devenu un ami de la famille. Je ne me souvenais plus très bien. Quézac, c’est un nom de l’Aveyron, il est arrivé de là-bas dans le Nord et a épousé une Belge. Il a eu bien des malheurs. Veuf déjà. Et puis son fils a fait une fugue à seize ans. Il a disparu. On ne l’a plus jamais retrouvé. Sa fille, elle, s’était mariée avec un Tommie à la Libération. Ils sont partis vivre en Angleterre où elle est morte de tuberculose quelques années après. Pourquoi je te raconte ça ? Je suis revenu par le potager. Jean-Pascal semait de nouveaux rangs de haricots. Les gamines picoraient dans les fraisiers.
mardi 25 juin 2013
Mardi 25 juin 2013. 20h30.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:56
Adélie, ma petite correspondante du lycée de Domfront à qui j’avais raconté l’autre jour mes affres de travail et d’écriture me houspille dans son message d’aujourd’hui. Bats-toi ! (On se tutoie depuis une semaine…) Je conçois que ça ne dois pas être facile tous les jours mais : zut !, tu fais quand même ce qui te plait. Garde en tête que ce n'est pas le cas de tout le monde. Et elle ajoute : Respire ! Elle a raison. Et plus que raison. Allez, poussé par derrière, tiré par devant, je vais finir par y arriver. Comme pour me faire un signe dans cette journée, Brother Cadfael, le rosier David Austin que m’avait offert Virginie en 2011 pour mon anniversaire a ouvert sa première vraie fleur. Une fleur énorme ressemblant à une fleur de pivoine, parfumée comme une rose de Bourbon. J'ai appelé Amélie à Paris. Tout va bien.
Lundi 24 juin 2013. 21h00.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:54
Au retour de la gare, j’ai trouvé un message de Florence. Javier Tomeo est mort samedi. On a besoin de 3000 signes pour ce soir. Tu serais partant ? Je m’y suis mis. J’ai parlé un moment au téléphone avec Denise Laroutis, sa traductrice, regardé les deux livres que j’avais de lui ici, La machine volante et La patrie des fourmis. Relu des notes. Attrapé quelques détails sur les circonstances de sa disparition. Le papier était fini dans l’après midi. Je suis allé porter à Georgette les crèmes aux œufs qu’Amélie avait fait pour elle hier. Les œufs ne viennent plus (hélas) de chez Marie-Thérèse. Au courrier de ce matin que je n’avais pas encore ouvert, j’avais une grande enveloppe de Mercedes. Elle était allée passer une semaine à Rhodes avec Esteban convalescent et m’avait ramassé là-bas une foule de plantes qu’elle avait enfermées pour moi dans les pages d’un cahier. Mais tout est arrivé moisi. J’ai retiré les moins atteintes et les ai mises à tremper dans de l’eau javellisée. Je les égoutterai demain et je les mettrai à sécher sous presse.
Lundi 24 juin 2013. 6h30.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:53
Ce fichu train qui part dans le petit matin.
Dimanche 23 juin 2013. 21h50.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:53
Nous avons préparé la maison pour l’arrivée des petites. Je terminerai les détails la semaine prochaine. Planté de grands piquets au jardin pour guider les deux Albéric Barbier grimpants vers le pergola. Nous sommes allés au potager cueillir les roses qu’Amélie emportera demain à Paris. Pas envie qu’elle parte. D’autant que, seul, je traîne mon temps. Le livre n’avance toujours pas. Il me reste un ou deux papiers pour Le Monde. Et plein de lectures de rentrée.
Samedi 22 juin 2013. 23h40.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:52
Claudine est venue dîner à la maison. Amélie l’avait croisée ce matin dans le bourg. Elle était seule chez elle : Patrick navigue en ce moment avec des amis dans les îles anglo-normandes. Tous les deux se sont (un peu) réinstallés à Carolles, mais depuis à peine un an. Les travaux dans leur maison étant enfin finis. Nous étions vus en janvier, au moment des vœux, avec leurs petits-enfants d’une dizaine d’années, Emma et Matteo. Nous avons passé une soirée de confidences simples. C’est vrai qu’on se connaît encore peu.
Samedi 22 juin 2013. 12h00.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:51
Nous avons rapporté du marché deux gros bouquets de fleurs de chez Gisèle, des fraises, du turbot et des joues de lotte.
Vendredi 21 juin 2013. 22h20.
Par Xavier Houssin le mardi 25 juin 2013, 20:51
Visite à Georgette dans la matinée. Amélie lui avait acheté, chez le traiteur italien de la rue Daguerre, de très fines tranches de mortadelle. Elle en raffole. On n’en trouve pas par ici ou seulement des roulades grasses au rayon charcuterie des supermarchés. Ce sera pour ce midi ! Nous avons passé la journée à faire des courses à Granville. Il manquait de tout. De l’épicerie, des produits ménagers. Nous sommes allés chercher du vin à l’entrepôt de l’avenue de l’Europe. Il y avait quelques beaux bordeaux, des côteaux d’Aix-en-Provence, du viognier. Passés à la jardinerie aussi. Je me suis décidé à acheter les trois grands plants de fuschias riccartonii que j’avais repéré la semaine dernière. Ce ne sont pas exactement les mêmes que ceux qui avaient gelé et que nous avons dû arracher au début du printemps. La petite cloche rouge formée par les sépales est tout autant bombée, mais la couleur des fleurs, dans son ensemble, m’apparaît plus claire. N’empêche, ils sont très ressemblants. Nous avons déjeuné à l’Atelier gourmet, le restaurant qui s’est ouvert à la place du Tex-Mex où j’étais allé faire manger un morceau à Marie cette nuit d’avril 2006 où ma mère est morte à l’hôpital. Content que le décor ait changé. Œufs cocotte, terrine d’andouille, jambon grillé. C’était simple et bon. Virginie et d’autres commerçants de Carolles avaient organisé une petite soirée en plein air, rue de la Poste, près de l’ancienne école, à l’occasion de la fête de la musique. Chacun y apportait son écot, à manger ou à boire. J’avais amené de l’entre-deux-mers. Serge Lelièvre grattait sa guitare et chantait ses chansons et du Brassens aussi et du Trenet et du blues du Bayou. Nous étions une trentaine. C’était joyeux, charmant. Nous avons trinqué, bavardé gentiment avec les uns et les autres. Avec Walter, Edouard, Brigitte, Olivier. Avec Odile et Christian. Monique et Jean-Marie revenaient de Corse. Ils auront bientôt les enfants et les petits-enfants. L’été arrive. D’ailleurs, sur le calendrier, il est même arrivé. Tant pis pour le soleil…
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