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lundi 7 octobre 2024

Jeudi 3 octobre 2024. 23h00.

Marché à Saint-Pair. J’ai juste fait les courses pour le dîner de l’arrivée d’Amélie. Tartare de bar, piments frais, coriandre, salade croquante. Demain nous attendons des cousins, son oncle aussi. Tout ce monde traverse (pas forcément tous d’ailleurs) la baie du Mont-Saint-Michel. Amélie est ravie de ce moment de famille. Elle est impatiente.

Mercredi 2 octobre 2024. 18h50.

La Maison des écrivains et de la littérature me propose de participer à un programme d’écriture avec des scolaires. Je ne me suis pas prêté à ce genre d’exercice depuis bien dix ans. J’allais dans des collèges et des lycées dits « défavorisés » parler de livres à des adolescents pas toujours très motivés. Les aider à écrire leurs histoires avec leurs mots à eux. Il y a eu de beaux moments, des rencontres avec quelques-uns. Deux ans de suite, en quatrième, puis en troisième, au collège Eugène Varlin du Havre, avec le même professeur de français, j’ai accompagné les élèves. J’écrivais alors La fausse porte et d’une certaine manière nous partagions l’avancée des travaux. Je pense encore à eux. Aujourd’hui le projet s’appelle Par nature, des ateliers littéraires avec le vivant. Il s’agit d’évoquer le rapport de l’écrivain à la nature et à l’environnement et la possibilité de le transcrire en littérature, puis de mener des ateliers d’écriture avec les élèves, en intégrant si possible la lecture à voix haute. Le texte réalisé devant être un discours visant à convaincre de l’importance de prendre en compte la nature et de veiller à sa préservation tout en luttant, si possible, contre l’éco-anxiété, très présente chez les jeunes gens. Tout cela m’apparaît bien compliqué. Et un peu tiré par les cheveux en ce qui me concerne. En plus je n’ai rien publié depuis quatre ans. Sans compter que le lycée se trouve à Cherbourg, soit deux heures de voiture, que je devrais faire garder la chienne… Bref, je crois que vais m’abstenir.

dimanche 6 octobre 2024

Mardi 1er octobre 2024. 20h10.

J’ai envoyé mon papier sur le Clémentine Mélois. J’aurai mis un temps infini à m’y mettre, mais aussi à l’écrire. Cela m’arrive quand je ressens trop de proximité avec un texte. Je bute sur le moindre mot, j’ai peur de pas être à l’aune de mon émotion, je me trouve malhabile, maladroit. Ce récit faisait écho, bien sûr, à celui que j’avais publié en 2009 sur la mort de ma mère et créait ainsi comme une parenté un peu encombrante dont j’ai eu du mal à me détacher. Le livre de Clémentine Mélois est celui d’un chagrin éclatant, lumineux, coloré. Ce n’est pas un tombeau littéraire, c’est une consolation.

Dimanche 29 septembre 2024. 17h15.

Lorsque nous avons fêté ses quarante ans en août, j’ai proposé à Marie de lui offrir un week-end avec moi quelque part en Europe, comme nous avions fait pour les trente, à Vienne. Il doit y avoir un tropisme germanique lié à ces anniversaires, puisque je me suis dit qu’aller à Munich était une bonne idée. Ça a eu l’air de lui plaire, même si ce ne sera pas une découverte pour elle puisqu’elle s’y est déjà rendue une fois pour son travail. Elle me servira de guide. Je connais mal l’Allemagne et pas du tout la Bavière. Elle m’a donné ses disponibilités et je viens de réserver les vols et un hôtel dans le centre-ville pour trois jours mi-avril. Cela paraît bien loin, mais je commence à me rendre compte à quel point le temps passe vite.

samedi 28 septembre 2024

Samedi 28 septembre 2024. 21h20.

Michel Bernard a publié une mise au point ferme (narquoise aussi) dans le Figaro d’aujourd’hui à propos du Syndrome de l’Orangerie que vient de faire paraître, cette rentrée, Grégoire Bouillier chez Flammarion. Ce roman se présente comme une « enquête » sur le mystérieux pourquoi de l’angoisse qui aurait brutalement saisi l’auteur à la vue des Nymphéas de Claude Monet, l’œuvre monumentale offerte à la France au lendemain de l’armistice de 1918. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-il enterré quelque chose ou même quelqu'un ? nous dit la quatrième de couverture. Hum. Cela fait surtout diablement penser à Deux remords de Claude Monet de Michel Bernard sorti à la Table Ronde en 2016. De fait, on s’aperçoit vite, des similitudes aux emprunts grossiers, aux recopiages irréfléchis, que Bouillier n’est qu’un voleur de poules. Sauf qu’on le laisse filer. Son livre n’a-t-il pas été dans la sélection du prix littéraire du Monde ? Chers confrères… Je n’arrive toujours pas à écrire mon papier sur Alors c’est bien de Clémentine Mélois. Cela en devient une histoire folle, obsessionnelle plutôt. J’attends que Jean le programme. Lui, de son côté, ne le programme pas parce que je ne l’ai pas écrit. Ça peut durer. Sauf qu’il est plus que temps. Et que ce récit sur son père, sur sa disparition, est magnifique de franchise douloureuse, grand ouvert aux embellies. Allez, je l’écris demain. Demain.

vendredi 27 septembre 2024

Vendredi 27 septembre 2024. 21h00.

J’ai reçu une alerte pour une vente aux enchères demain à Coutances. Il y aura trois petites gouaches attribuées à Christiane Caillotin. Des scènes de genre si l’on veut. Une famille sur le pont d’un bateau, un gamin à vélo, deux hommes en conversation sur un banc. Mlle Caillotin était mon professeur de dessin au collège jusqu’en quatrième. Elle s’efforçait du mieux qu’elle pouvait d’apprendre à manier le crayon à la bande de jeunes abrutis que nous étions. Je me souviens des chahuts qu’elle supportait avec une indifférence absolue. J’ai su bien tard qu’elle était peintre « pour de vrai ». J’ai lu, je ne sais plus où, qu’elle peignait des fleurs blanches sur fond blanc. Et c’est ce genre de peinture d’elle que je cherche aujourd’hui. Au hasard des ventes.

Jeudi 26 septembre 2024. 19h50.

Longue conversation téléphonique avec Nicole. Toujours envahie d’inquiétudes, tourmentée, mais aussi battante, courageuse. L’année prochaine verra les soixante-quinze ans de Caractères. Elle maintient la maison hors de l’eau depuis la mort de Bruno Durocher en 1996. Mais cela devient de plus en plus compliqué. L’argent bien sûr, les subventions qui n’arrivent pas, la propriétaire qui veut récupérer les locaux… La santé aussi. Elle a quatre-vingt-deux ans. Elle vient de faire un malaise cardiaque. Je vais mieux ! Ces derniers temps, elle n’avait quand même plus la force de se rendre chez Caractères. Le travail repose pour une grande part sur les stagiaires. Et puis il y a Israël, un de ses fils y est installé en famille. Ses petits-enfants font leur service militaire en ce moment. Je suis accrochée aux nouvelles. Ça me rend folle. Et pour l’édition, elle voudrait vraiment passer la main. Mais à qui ? Personne pour l’instant ne veut reprendre. Amélie a cornaqué ses auteurs toute la journée au festival America de Vincennes. C’est aujourd’hui qu’on devait changer la chaudière de l’immeuble. J’espère qu’elle aura de l’eau chaude en rentrant.

mercredi 25 septembre 2024

Mercredi 25 septembre 2024. 23h00.

Pas mieux. Je suis tout de même parvenu à faire un peu de courrier. Essayé entre autres de m’occuper du problème de « l’héritage » de mon oncle Georges. Quelques jours après la cérémonie à Lille, j’ai en effet reçu une lettre recommandée de la société d’assurance qui s’était acquittée de son contrat d’obsèques. Il restait un peu plus de 300 € sur le compte. En cette pénible circonstance, permettez-nous de vous adresser en premier lieu nous sincères condoléances. Afin que nous puissions procéder au règlement du solde du capital, il convient de nous adresser : - la copie intégrale du livret de famille de M. Lapierre Georges – les coordonnées postales de ses enfants… J’ai donc dû expliquer que mon oncle était prêtre et que question progéniture, je n’avais pas d’informations. Mais comme ses cendres avaient été dispersées, j’avais eu alors l’idée d’utiliser cette petite somme pour faire réaliser une plaque commémorative que l’on pourrait apposer dans la paroisse où il avait été curé ou au monastère des sœurs dont il était le chapelain. Visiblement, ce n’était pas simple. L’assureur allait réfléchir. En outre, il fallait que la pose de cette fichue plaque soit possible. L’affaire va peut-être se régler grâce à la gentillesse de M. Lefèvre, l’ancien directeur de la maison de pompes funèbres qui a organisé les obsèques et dont mon oncle était proche. Ce serait bien.

Mardi 24 septembre 2024. 21h10.

Épuisé. Je me suis lamentablement traîné toute la journée.

Lundi 23 septembre 2024. 20h00.

Bronchite. J’ai accompagné Amélie à la gare en fin d’après-midi. On ne se voit pas avant dix jours. Il y a le festival America à Vincennes et elle fait un aller-retour à Lyon samedi pour Italissimo.

mardi 24 septembre 2024

Dimanche 22 septembre 2024. 21h50.

J’ai pris froid à Paris. La chaudière de l’immeuble est tombée en panne lundi dernier. Nous nous sommes lavés à l’eau glacée toute la semaine. Le pire étant les shampooings. Brrr. J’ai l’impression de ne m’en être pas encore réchauffé. Visite à Saint-Jean-des-Champs chez Cathie et Etienne. Soixante-dix-sept et quatre-vingt-huit ans. Lui a une sciatique qui ne passe pas et peut à peine marcher. Elle a des faiblesses, des vertiges. Leur petite chienne Jacquotte est morte. Bref, ils ne vont pas très fort tous les deux. Dîner à la maison avec Brigitte et Yann. Au menu : pâtes au coulis. Évidemment.

Samedi 21 septembre 2024. 22h20.

Marché à Granville. Nous sommes passés chercher La Harpe chez Séverine. Amélie avait chargé Brigitte hier matin de lui récupérer une cagette de tomates (très mûres) chez le maraîcher. Depuis un mois, Amélie s’efforce de refaire notre provision de coulis. Hélas, 2024 n’est vraiment pas une année à tomates et j’ai bien peur que n’atteignions pas le stock de 2023. Avec les dix kilos d’aujourd’hui, elle est parvenue à faire six pots. Ce qui nous fait en tout une petite quarantaine.

Vendredi 20 septembre 2024. 23h50.

Déjeuner avec Amélie dans un restaurant coréen de la rue Dupuytren. Je suis rentré à l’appartement en passant par le Luxembourg. Fait quelques courses pour notre pique-nique dans le train. Le voyage nous a semblé très long. Beaucoup de monde et du retard dû à je ne sais quel habituel problème de signalisation.

Jeudi 19 septembre 2024. 22h50.

J’ai soixante-neuf ans et je suis fatigué. Mais vraiment fatigué. J’avais dans l’idée de me rendre rue Ducouédic jusqu’à l’immeuble où je suis né. À quoi bon ? La clinique a fermé depuis bien longtemps. À la place, on a ouvert une maison pour vieillards aisés. Samuel Beckett y a fini sa vie. Deux rendez-vous médicaux dans la journée. Côté cœur, ça tient. Bruno Genevray est content aussi de mes résultats sanguins. Sauf le sucre. Vous verrez ça avec Letanoux. – Je la consulte tout à l’heure. Sinon, nous avons parlé de livres, de musique, des gens que nous aimons bien. J’ai rejoint Laurence pour un verre au Zimmer. Finalement nous n’irons pas à Nice pour la fête de la guérison d’Adam. Elle a dû déplacer la date d’une semaine et ce sera justement au moment où Virginie et Marcus m’offrent un séjour à Senlis pour mes soixante-dix ans (prochaine étape) avec eux et mes nièces. Laurence vient de rendre son roman à paraître en janvier à Alice d’Andigné sa nouvelle éditrice. Elle quitte en effet Stock pour Laffont. Comme son éditrice d'ailleurs, à quelques années de distance. Déjeuner médiocre et cher, seul, au Chai de l’Abbaye. J’ai flâné un peu dans Saint-Germain avant de me rendre chez la diabétologue. Comme prévu, ce n’est pas brillant. Changement de traitement, analyses dans deux mois. Elle prend sa retraite et m’adresse à une consoeur vers Denfert. Mes médecins vieillissent. Amélie toute cette semaine accompagnait, de rédactions, en studios, son auteur israélien Amir Tibon. Dans Les portes de Gaza, ce journaliste de Haaretz, raconte comment, le 7 octobre, au kibboutz de Nahal Oz, il a survécu, avec son épouse et leurs filles de trois ans et vingt mois, à l’épouvantable massacre. Au-delà du récit douloureux, il pose aussi un regard lucide sur ce tout qui ne cesse de menacer Israël. Il participait à une rencontre ce soir au Musée d’art et d’histoire du judaïsme. Amélie en est sortie un peu tard. Elle m’a invité chez Tutto Bene rue Daguerre pour une pizza d’anniversaire. Là-bas pour l’occasion, on nous a offert une grappa de la maison Poli. « Settembre », bien sûr.

Mercredi 18 septembre 2024. 23h20.

J’avais rendez-vous chez l’ophtalmo. Une nouvelle dame. La précédente avait fermé son cabinet. Elle m’a fait subir tout un tas d’examens. Des croix à gauche, des croix à droite, des aérostats orange sur fond bleu. Tonomètre et rétinographe. Résultat : c’est limite, mais ça va quand même. Je devais retrouver Marie pour prendre un verre en fin d’après-midi à la sortie de sa galerie. J’avais le temps, il faisait beau. J’y suis allé à pied. Hormis la place de la Concorde défigurée par les aménagements des jeux olympiques, entièrement grillagée, intraversable, la balade était belle. Cela faisait une éternité que je n’étais pas passé par les jardins des Champs-Élysées. Trouvé Marie plutôt en forme. Je devrais lui proposer plus souvent qu’on se voie lorsque je viens à Paris. Marché jusqu’à Saint-Lazare où je rejoignais Amélie chez Mollard. Nous y étions conviés pour mon anniversaire par Cécile et Patrick. Toujours attentionnés, délicats. La brasserie art nouveau, décor de mosaïques, d’émaux, est vraiment un lieu exceptionnel. Je n’y avais pas remis les pieds depuis son centenaire en 1995. Une réception d’anniversaire avec un buffet hors pair, pantagruélique. Marie que j’avais emmenée avec moi (elle avait dix ans) s’en souvient encore avec émotion. Je devais l’invitation à Marianne Niermans avec qui je travaillais à Point de Vue. Elle est la petite-fille d’Edouard Niermans qui en fut l’architecte (comme celui, entre autres, du Negresco à Nice ou du Moulin Rouge). J’ai complètement perdu Marianne de vue. Je me suis dit que c’était l’occasion de lui faire un petit signe. À la fin du dîner, j’ai demandé au maître d’hôtel si je pouvais avoir une carte ou une feuille de papier à en-tête. Ah, mais ça ne se fait plus, Monsieur…

mercredi 18 septembre 2024

Mardi 17 septembre 2024. 20h25.

Déjeuner avec Pascale chez Perraudin. Cela fait plusieurs fois qu’on se retrouve dans ce restaurant du haut de la rue Saint-Jacques. Un endroit rassurant. Nappes en papier à carreaux rouges et blancs, terrine campagne et foie de veau purée. Je l’ai un peu abrutie avec mes états d’âme, mes empêchements divers, Surtout ce livre que je ne cesse de repousser à écrire. Parlé de Buchet et de sa rentrée. Antoine Choplin et Joël Egloff. Du texte à venir d’Hélène Veyssier au printemps. De celui de Violaine Bérot. Je l’ai raccompagnée jusqu’à la rue des Canettes. J’avais rendez-vous avec Nathacha au Sauvignon. Je l’ai attendue en faisant un peu de courrier. Elle m’a offert une écharpe en cachemire toute douce. C’est vrai que c’est bientôt mon anniversaire.

Lundi 16 septembre 2024. 22h20.

Nous étions invités à la remise du prix Patrimoines. Cela avait lieu à l’Hôtel des Invalides. Accueil par la fanfare de la garde républicaine dans la cour d’honneur puis réception sous les lustres du grand salon et le portrait de Louis XIV. Ça avait franchement de l’allure. Embrassé Floryse qui avait organisé l’événement. On s’aime bien. Nous ne nous étions pas vus depuis des années. C’est elle qui m’avait fait entrer au jury du prix Pagnol. J’en ai démissionné en 2018 après qu’il avait été attribué à un livre pour moi sans rapport avec le thème du souvenir d’enfance, premier critère de sélection. Je ne suis plus dans aucun jury d’ailleurs aujourd’hui. La soirée a permis d’autres retrouvailles. Manière de s’apercevoir que les années passent vraiment. Vous vous connaissez depuis quand ? demandait je ne sais plus qui à Brigitte et à moi. Oh, du temps où elle travaillait pour les PUF. – Hum… C’était il y a quarante ans. Au fait, le prix est allé à Maylis de Kerangal pour Jour de ressac.

Lundi 16 septembre 2024. 9h00.

J’entame une semaine de rendez-vous médicaux. Je commence par le laboratoire d’analyses.

Dimanche 15 septembre 2024. 23h20.

J’ai envoyé ma note de lecture au CNL. Encore une fois c’était sur le fil. L’ouvrage est très documenté, très complet. D’une certaine manière, il fallait oser se lancer dans une biographie de Gracq. Lui qui n’aimait vraiment pas parler de lui. Je me souviens d’une conversation avec Alain Jaubert qui fut son élève au lycée Claude-Bernard à la fin des années 1950. Pour lui, Gracq était d’abord M. Poirier, professeur d’histoire-géographie qui ne mélangeait pas la littérature et l’enseignement. Cela fait un moment que je n’ai pas croisé Alain Jaubert. Il habite, je crois, boulevard Raspail. On s’apercevait rue Daguerre. J’espère qu’il va bien. Rangé la maison. Pris le train dans l’après-midi à Granville (bondé). Je suis arrivé un peu passé l’heure pour faire des courses. J’ai juste acheté deux phở chez le traiteur asiatique. Amélie rentrait tard, accaparée par ses auteurs, sa rentrée. Nous n’avons pas traîné à nous coucher.

Samedi 14 septembre 2024. 10h10.

Amélie est en Corse pour Libri Mondi, les rencontres littéraires de Bastia. Elle accompagne Ivy Pochoda qu’elle a connu chez Liana Levi pour ses deux premiers titres traduits en français et dont le nouveau, Ces femmes-là, est paru chez Globe. Réalisé avec effroi que j’avais un avis de lecture à rendre pour le CNL avant demain (complètement enfoui cette histoire…) sur une biographie de Julien Gracq.

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