Nous sommes arrivés trop juste à l’abbaye de la Lucerne. La nef était pleine et nous n’avons trouvé de place que dans les collatéraux. L’office de la Résurrection a été magnifique porté par le Chœur Ad Caelum et par le Chœur Éphata. Chants grégoriens et Messe en do majeur, « la messe solennelle », de Mozart. En sortant, nous sommes restés un moment à regarder l’immense verrière du chevet ouverte sur les arbres, le bocage. Tout est vert et feuillu. Ensoleillé d’espoir.