J’ai finalement envoyé mes pages à Isabelle. Elle les a lues très vite. Moins d’une heure après, j’avais un message d’encouragement. Ne te torture plus car le livre est au bout de tes doigts, ta musique, ton rythme, la contruction, tout y est... Vraiment. Il suffit de te laisser aller. Merci. Je me sens conforté. Alors je continue.