J’ai reçu un message de Sylvie Doizelet, comme une étrange réponse à la lettre que lui avais envoyée et qu’elle n’a jamais reçue au moment de la mort de Jean-Claude Pirotte. La peine est immense, m’écrit-elle. Et j’ai senti sourdre la mienne. Irrépressiblement. Faut-il croire aux hasards qu’au moment de commencer mon papier pour Le Monde sur ses textes posthumes, son roman, ses poèmes, je reçoive un mot de sa compagne ?