Adressé un autre papier au Monde. Florence m’avait commandé quatre mille signes sur trois petits livres de Roberto Bolaño parus chez Bourgois. Il s’agit d’un texte romanesque, le dernier publié avant sa disparition (Un petit roman lumpen), d’un recueil de textes poétiques (Trois) et d’une anthologie, mise en œuvre par lui-même, de ses poèmes de 1980 à 1998 (Les chiens romantiques). La poésie, écrit-il, se glisse dans le rêve/ pareille à un plongeur dans un lac. Ne reste qu’à ouvrir grand ses yeux dans l’eau claire…