J’ai écrit la nécro de Pascal Garnier ce matin. Envoyé le papier à Raphaëlle. Travaillé comme j’ai pu. De toute la journée, je ne suis sorti que pour faire rapidement le tour du jardin. Les branches du saule sont gonflées de chatons duveteux. Le reste est figé de froid, malgré le soleil et le ciel bleu. Train du retour (si lent, si lent...). J’ai retrouvé Amélie.