J’ai terminé mon papier pour Raphaëlle à propos du livre de Michèle Lesbre, Sur le sable. Un « Atelier d’écriture » de page trois pour expliquer comment dans ce dernier roman, elle poursuit comme un colin-maillard d’elle-même. Je lui ai lu au téléphone. Je suis toujours inquiet des auteurs. Il suffit d’un mot de trop. De pas assez. D’un rien de maladresse. Amélie avait cuit une quiche. Il faisait nuit, à peine.