J’étais chez Buchet tôt. Je continue la nouvelle programmation de « Domaine Public ». Ca dure, ça dure... En fin de matinée, j’ai retrouvé mes étudiants à Censier. Le message essentiel, les textes à réécrire : ils ont l’air de s’accrocher. J'ai enfin vu Béatrice. Elle a de la constance. Elle m'a présenté le programme de Gaïa. En janvier, ils publient La colline du voleur. C'est le premier tome de Vérité et justice, une grande fresque écrite par Hansen Anton Tammsaare, grand auteur estonien du tournant du XIXe et absolument inconnu pour moi. La colline du voleur parle de son enfance dans un territoire rude de cailloux et de marécages. J'ai appris que Giono trouvait le texte magnifique. J’ai assez hâte de voir de quoi il s’agit. J’ai filé chez Marie, toujours coincée dans son appartement avec sa cheville foulée. Je lui avais proposé de lui faire quelques courses. J’ai acheté de quoi remplir son frigo au Monoprix de son quartier. Il était tard lorsque je suis rentré à la maison.