J’ai emmené La Harpe au toilettage. Ce n’était vraiment pas du luxe. Elle ressemblait à un mouton laineux avant la tonte. Sale et hirsute. Deux heures (quand même !) après, elle avait retrouvé un aspect plus « civilisé ». J’ai laissé un pourboire à la jeune femme qui avait vaillamment démêlé l’affaire.