Steven avait perdu sa mère en novembre. Elle était une très vieille dame, presque centenaire. Nobody told me how heavy the blow, m’avait-il écrit alors dans son message. J’avais répondu juste trois lignes : en anglais, mais dans l’immédiateté d’internet, je n’arrivais pas à trouver les mots. Je lui avais donc posté, en français, une longue lettre. Aujourd’hui, au hasard d’un autre message, je m’aperçois qu’il ne l’a visiblement jamais reçue.