Florent Georgesco m’a téléphoné pour me demander si je voulais bien me charger de la nécro de Pierrette Fleutiaux. J’ai hésité. J’avais très envie de lui rendre cet hommage dans le journal, mais j’ai refusé. Trop de travail. Samedi, nous recevons François Taillandier aux Rencontres de Carolles pour son dernier livre François, roman. Et je dois d’ailleurs aussi rendre un papier à Raphaëlle sur ce texte. D’ici demain, il faut que je remette mon nez dans ce qu’il a écrit (Dieu sait qu’il a écrit) et que je prépare mes questions. Je ne sais pas avancer vite. Et je n’aurais vraiment pas voulu (pas su) bâcler.