J’ai profité du beau temps pour commencer à nettoyer le jardin. Je ne peux pas laisser M. Mitaillé tailler les haies autour d’un telle jungle. J’ai fait de grandes coupes dans les rosiers lianes afin de pouvoir attacher correctement leurs tiges aux branches des sapins. Arraché la vigne vierge qui colonise les pentes du toit. Bref j’ai passé ma journée sur une échelle. Et comme je ne suis pas très doué, j’ai réussi, à la fin, à me coincer le pied entre deux barreaux coulissants. Un cauchemar. Que je monte ou que je descende, j’écrasais mon orteil. Amélie m’a sorti de là de justesse. Ouf ! Plus de peur que de mal.