Fatigué. J’ai peu dormi. J’ai fini très tard dans le soir mon papier sur le Cécile Reyboz et mon sommeil a été encore haché de rêves bizarres. Je dors mal. Je passe mes nuits à rater des trains, à me perdre dans des couloirs de correspondance, à oublier des documents importants sans espoir de les retrouver. Je suis désemparé.