Nous descendons à la plage. Amélie fait son longe-côte. La chienne va patauger dans les vagues, gratter le sable. Je marche au sec ou à l’à peu près, porté par mes rêves. Nous rentrons. La 4L est pleine d’eau, de sable, d’odeur de chien mouillé. C’est un de ces vrais beaux jours d’automme. Merci.