Les rencontres littéraires marchent plutôt bien. Il y avait du monde pour Olivier Adam. Presque quatre-vingt personnes. J’ai fait de mon mieux. Nous avons remonté dans ses livres à partir du dernier, Peine perdue, chez Flammarion. Tiré des liens d’écriture. J’ai essayé de l'amener un peu au dévoilement, de lui faire parler de vocation d’auteur, d’enfance… Pas facile. Mais les gens étaient contents. Nous avions invité Monique et Jean-Marie à dîner avec lui à la maison. La blanquette était trop cuite, elle partait en charpie (Ma faute. Je l’avais laissée des heures sur le feu de peur qu’elle ne soit pas assez fondante) mais le saint-émilion (un château-l’archange 2009) nous a sauvés.