Petit instant d’inquiétude en accompagnant Amélie au train. Au feu rouge de l’octroi, à Granville, l’accélérateur de la Twingo s’est bloqué, faisant un boucan d’enfer. Puis le moteur a calé. J’ai eu du mal à redémarrer. Cela a recommencé un peu plus loin, sur l’avenue Aristide-Briand. Je suis arrivé à la gare, la voiture hoquetante. Nos adieux ont été rapides. Pas tant à cause de cette histoire que de la grêle qui s’est abattue violemment comme j’avançais avec elle sur le quai. Je file ! La voiture est repartie normalement. Pas le moindre problème jusqu’à Carolles. Mais à 8h00, j’étais à l’ouverture du nouveau garage de la rue de la Poste. Le temps épouvantable a duré toute la journée. Je me suis replié sur mon courrier en retard. J’ai même fini par répondre à M. Langiny, le voisin « de derrière », qui, au printemps, avait saccagé mon mur végétal et mes plantations en construisant une (vilaine) extension de sa maison. Le bonhomme s’estime quitte en ne me remboursant que la moitié de mes frais de sauvetage. Je lui ai écrit que je trouvais que j’avais été suffisament conciliant jusqu’ici. Le mécanicien m’a appelé en fin d’après-midi. Il n’avait rien trouvé. La « panne » reste un mystère. J’espère qu’elle ne se reproduira pas. Il a refusé d’être payé. Du coup, je lui ai parlé de la 4L. L’idée, c’est de la remettre à neuf. On le ferait petit à petit. Tranquillement.