Les champs, le sentier le long de la falaise, la plage. Nous avons emmené Laurence en balade. Le ciel, frais et dégagé, ne s’est couvert de brume que lorsque nous arrivions à la maison. Il tombait quelques gouttes lorsque je l’ai accompagnée à la gare en début d’après-midi. Le vent se levait. Le temps retournait à l’automne. Je suis resté paisible avec Amélie auprès du feu. Sans l’angoisse du départ. Elle ne rentre à Paris que demain matin. Je reste ici pour travailler. Les poèmes à terminer. Les plantes à coller dans l’herbier.