J’avance dans les poèmes, mais, une fois encore, je suis en retard. Mon Dieu que je suis en retard... Toujours en retard. J’avais en effet promis à Geneviève Bouffartigue de lui envoyer avant fin août une grande partie des textes et quelques photos de planches de l’herbier définitif. Pour les textes, ça devrait aller. Mais j’appréhende vraiment la mise en feuilles de l’herbier. Peur d’être maladroit, d’abîmer les plantes… Alors, je repousse le moment de m’y mettre. Et puis il y les quatre spécimens que je ne suis pas parvenu à identifier faute de fleurs. Anne, la fille de Norbert, qui est botaniste avait promis de m’aider. Mais chaque chose en son temps : d’abord finir ces poèmes.