Mercedes a donné des nouvelles d’Esteban. Il est entré à la Salpétrière hier soir. Sa première intervention (d’une série de trois…) a lieu aujourd’hui. Cherché des textes de reportage pour les étudiants. Beaucoup d’entre eux n’ouvrent jamais la presse. Ils regardent juste les gratuits du métro et les grands titres sur internet. Je ne cesse de leur répéter que c’est en lisant qu’on commence à comprendre comment il faut écrire. J’ai dejeuné avec Karine. Nous ne nous étions pour ainsi dire pas vus depuis la sortie de La fausse porte. C’était elle mon attachée de presse. Aujourd’hui, elle voulait me parler de Waldoka, le prochain roman de Lucia Puenzo qui paraît en mai.