Grand soleil, la mer ondulant en vagues calmes. Amélie a fait son « longe-côte » jusqu’à Jullouville et retour. C’est à chaque fois une étrange promenade que nous faisons ainsi à deux. Elle dans l’eau, moi sur le sable, avançant malgré tout au même rythme. Eloignés d’une dizaine de mètres, mais plus proches que si nous nous tenions par la main. Dépéchons-nous, Georgette t’attend. Elle ne me parle que de toi. Elle demande sans cesse de tes nouvelles. Là-bas, nous avons bu un verre de chinon rosé, grignoté quelques biscuits. Déjeuner au jardin.