Sophie m’a donné les quelques précisions qui me manquaient pour argumenter un peu ma proposition à Raphaëlle d’un papier « Histoire d’un livre » sur les Œuvres complètes et Les lettres retrouvées de Raymond Radiguet. Mon petit créneau de rentrée se précise au Monde. Ce n’est qu’un début, j’espère. J’ai pris rendez-vous pour un portrait de Marie-Hélène Lafon, obtenu l’accord en ce qui concerne le dernier Catherine Safonoff. Et j’ai des brèves à écrire aussi sur deux premiers textes : Autour de moi de Manuel Candré et Le coursier de Valenciennes de Clélia Anfray. Pour le reste, j’attends des nouvelles de Florence et du domaine étranger. J’ai rédigé ma chronique de septembre pour Next sur L’averse de Fabienne Jacob. Calme plat en ce qui concerne les autres journaux. Je sais que je devrais appeler, insister, faire des offres de travail. Mais je me sens de plus en plus mal à l’aise dans ce rôle de solliciteur. Allez, je vais essayer de faire des efforts. Amélie est arrivée au train de 20h00. J’avais rangé la maison, rafraîchi les bouquets. Tellement de temps que je l’attends.