Je me suis reposé une bonne partie de la journée. Allongé, la jambe posée sur un coussin. Je rattrape comme je peux des nuits entrecoupées. De fausses veilles lasses, où j’écoute la nuit sans le courage de me lever. Reçu aussi une journaliste et un cameraman de La grande librairie. François Busnel invite Jeanne Benameur le 7 avril pour son dernier roman Les insurrections singulières. On me demandait de dire quelques mots sur son œuvre pour un court portrait. Je me suis souvenu aussi qu’au Festival du premier roman de Chambéry en 2004, elle avait été ma « marraine ». Marcus est venu, juste de retour de Bâle, nous dire en revoir en fin d’après-midi. Ereinté de ses journées de salon. Il rentre au Mexique demain. Angel, le parrain de Victoria chez qui il loge pour sa dernière nuit à Paris, l’accompagnait. Nous avons fait connaissance. Je voulais donner à Marcus un mot à remettre Alberto à Mexico. Pas eu le temps de terminer. Trop long. Trop compliqué. Je l’enverrai par la poste. Plus tard.