A la Bellengerie, avec Noëlle et moi, Françoise avait invité Patrice et François. Nous avons partagé un énorme couscous. Parlé de tout, étonnament. J’ai perdu l’habitude de la discussion. La soirée s’est achevée à propos d’un papier que Jean-Pierre avait lu dans Le Monde. Un primatologue américain vient en effet de faire paraître un essai qui tend à montrer que les animaux sont doués d’empathie. Le souci de l’autre semblerait partagé par bien des mammifères…