M. Jouenne est venu livrer une nouvelle corde de bois ce matin. Il ne restait plus grand chose de ce qu’il avait apporté en septembre. Nous avons pris un café. Ils seront dix-huit pour le réveillon, dans la ferme, près du Mesnil Rainfray. Nous, trois, avec Georgette, le 24 au soir. Je n’ai pas fini le travail sur Bruno Durocher. Ca avance lentement, comme d’habitude. J’ai relu Olimpia de Céline Minard avant de l’appeler pour un papier à rendre au Monde. J’en ai pas mal à rédiger avant de commencer à écrire... pour moi. Je suis las et j’ai hâte.