J’ai ramassé en monceaux les feuilles mortes du figuier et du frêne. Attaché les grimpants et les lianes qui pendaient aux murs où la vigne vierge est tombée. Travaillé un peu, un tout petit peu à ce roman de l’an prochain. Histoire d’apprivoiser l’idée qu’il faut s’y mettre. Pour de vrai. Pour de bon. J’ai tellement peur de ne pas y arriver.