Deuxième séance avec les étudiants à Censier. Ça s’amarine doucement entre nous. Je leur ai longuement parlé du message essentiel. On verra ce qu’il en restera à la prochaine séance. Mais s’ils ont compris, nous pourrons avancer vite. J’avais rendez-vous aux Deux magots avec Alexandre d’Oriano, le président du Cercle Anna de Noailles. Il a pu obtenir du directeur de l’établissement une vitrine à l’entrée présentant mon édition des Innocentes. Pas mal de projets. Une soirée en décembre à la Société des gens de lettres, une rencontre à Evian, une autre à Bruxelles à l’Académie royale de Belgique. J’ai retrouvé Amélie pour aller à la soirée « rentrée littéraire » Libella. Beaucoup de monde dans cette salle du dancing de la Coupole. Une embrassade par çi, deux ou trois mots par là… J’ai pu féliciter Astrid qui se marie bientôt, prendre des nouvelles du bébé de Caroline, revoir Mercedes et Esteban, parler un peu avec Sylvie, avec Géraldine, avec Marie-Françoise. Une soirée « famille » en quelque sorte. Etrange sentiment d’appartenance... Nous nous sommes échappés au moment où l’orchestre commençait à jouer. On ne s’entendait plus. Dîner chez Wadja avec Solveig et Nicolas. Ce n’était pas fameux (pour une fois) mais nous avons passé un moment simple et agréable. Une embellie. Dicussion sans ragots, sans potins comme cela se fait souvent à la sortie de ce genre de fêtes. Et un dernier verre avant de se quitter à la terrasse du Select.