J’ai envoyé, à nouveau, à Libération notre texte sur le statut des auteurs. Ils ne le retrouvaient plus, puis ne parvenaient pas à l’imprimer… Ca a l’air compliqué, là-bas. La parution risque de traîner. Du coup, je l’ai fait parvenir à Alexis pour Marianne. On s’est dit quelques mots au téléphone. Il le publie dans quinze jours. Affaire réglée… Un hebdo, d’ailleurs, c’est bien mieux. J’ai fait part de la bonne nouvelle à Laurence et Renaud. Déjeuner avec Sophie et Marie-Jeanne à la Villa corse. Petit état des livres et des papiers. Le portrait de Richard Price que j’avais rencontré en juin est enfin commandé. Je vais l’écrire cette semaine. Marie-Jeanne parlait des romans « populaires » ou « de terroir » qu’elle avait à défendre. On ne connaît pas bien les gens qui écrivent toute cette littérature. Leur nom est rarement célèbre, on ne parle presque jamais de leurs livres dans la presse. Pourtant ils ont des millions de lecteurs. Vraiment pas de quoi les mépriser.