Laurence m’a adressé quelques remarques à propos du texte sur le statut des écrivains que nous avons commencé à rédiger, Renaud et moi. Je suis vraiment content qu’elle ait accepté de nous rejoindre dans l’exercice. Nous sommes d’accord tous les trois : il faut simplement dire à quel point notre situation est précaire et tenter d’amorcer un débat. On peut rêver. Mais il ne ne passera rien si l’on se tait… J’ai travaillé tout l’après-midi à l’édition de l’œuvre de Bruno Durocher. Ca avance très très doucement. Amélie est venue me chercher. Nous devions rejoindre Elodie et Pierre chez Roberta, le restaurant italien du XIe dont ils nous parlent depuis des mois. Là-bas, nous avons retrouvé Illaria et David. Petits poulpes rôtis, praires et palourdes sautées, aubergines, carpaccio de joue de morue, tripes au parmesan, calamars farcis au pesto. Pas de doute, c’est une magnifique adresse.