Le Salon, toujours. Je signais mon livre en début d'après-midi. A côté de Mercedes d'abord. Puis de Caroline. J'ai vu pas mal de gens. De ceux que que je connaissais bien. Brigitte, Alain, dont sur le coup (j'ai eu honte), je n'arrivais plus à retrouver le prénom. De ceux aussi dont je n'avais plus de nouvelles depuis un moment. Jérôme, notamment, avec j'avais travaillé à Point de Vue et qu'il faut que je revoie, vraiment. J'ai été dire bonjour à Nadine chez Denoël. Il y avait là Sempé à qui j'ai bavardé. Nadine m'a présenté à Posy Simmonds qui vient de sortir chez eux Tamara Drewe, un roman dessiné qui a beaucoup à voir (très librement) avec Loin de la foule déchaînée de Thomas Hardy. Elle avait déjà réalisé un « album » de la même veine, à l'attache littéraire d'emblée plus explicite, Gemma Bovery. Ritournelles d'ennui où se débattent ses héroïnes, anglaises... Tout est d'une lucidité mordante, mais doux et attachant. J'ai pu lui dire. C'était important. J'ai récupéré Amélie sur le stand de L'Olivier. Nous avions prévu de dîner avec Delphine et Solveig. Nous nous sommes retrouvés rue Pierre-Leroux chez Guiseppe. Au calme. En connivence. Et c'était bien. Très très simplement.