Amélie est rentrée transie de notre balade le long de la grève. Le vent coupant emportait ensemble le sable et la pluie fine. Nous nous sommes retrouvés trempés. La maison nous a semblé délicieusement chaude. Il restait de belles braises dans le feu. Nous avons rajouté des bûches. D’un bois de pommier dont M. Jouenne nous avait livré une corde le matin.