Le train pour Cannes était à 8h00. Nous avons dormi, côte à côte, dans le TGV, jusqu’à Avignon et fini le trajet les yeux un peu dans le vague. Juste réveillés par les derniers kilomètres, le long de l’Estérel, quand la voie suit la mer, en pleine carte postale. Cabotage d’été. Il faut que je m’amarine un peu. Jérôme était venu nous chercher. Sur ses épaules, Victoria faisait des signes à tout le monde. Dans la foule, on ne sait jamais.