J’arrive enfin à travailler dans le train. Avant, je traînais une rêvasserie blanche dans le paysage sans rien pouvoir retenir, sans rien pouvoir fixer. Maintenant je ne laisse plus le trajet s’effilocher. Je le mets entre parenthèses. Et dans le sens du retour, surtout, c’est mieux. J’ai corrigé les travaux des étudiants. Pris quelques notes de lecture. Les jours qui viennent vont être très occupés.