Les pieds de la table de nuit d’Amélie étaient rongés par les vrillettes. A point qu’un d’entre eux avait fini par casser. Elle tenait posé sur des piles de livres. Ce petit meuble faisait partie de la « chambre à coucher » de mes grands parents. Leur cadeau de leurs noces en 1902. Nous nous servons encore de l’armoire à glaces et nous dormons dans le lit. J’ai trouvé chez Emmaüs un chevet presque identique. On nous l’a livré ce matin.