J’ai rédigé le papier sur Une peine blanche de Jean-Luc Marty. Ecrit les brèves aussi. Passé la journée enfermé (« confiné » comme on dit). Je suis juste sorti faire le tour du jardin. Quel désastre. M. Mitaillé est bien passé dégager le tronc du saule qui était tombé pendant la dernière tempête emportant avec lui mon Adélaïde d’Orléans, mais il n’est pas revenu terminer le nettoyage. Il y a toutes les haies à tailler, les plates-bandes à reformer. Et je ne peux rien faire avec mon dos. Je devrais pourtant désherber, arracher toutes les envahissantes pousses de passiflore. Tailler les rosiers. Planter des bulbes, des fougères. Préparer la terre à l’hiver.