Reçu la confirmation écrite (par courriel) du refus d’hier. Elle précise que puisqu’il ne veut pas du manuscrit, il m’abandonne mon à-valoir, mais qu’en cas de reprise par un autre éditeur, l’usage veut que la somme que j’ai reçue soit remboursée en tout ou partie par ce dernier. Ce que j’en comprends aujourd’hui, c’est que cela bloque mon texte. J’ai passé quelques coups de fil. On me dit de ne pas m’en faire, que c’est purement formel. N’empêche.