J’ai fini de retranscrire mon interview de Simonetta Greggio. C’est un exercice fastidieux. Avant, je prenais des notes. Je devais les remettre vite au propre, faite de quoi, si j’attendais, je n’arrivais plus à relire mes gribouillis. En enregistrant aujourd’hui, j’ai gagné du confort, et je suis devenu, du même coup, paresseux. Ca traîne.