Nous avons fait de la paperasse. Du courrier aussi. Tous les deux. Il me reste beaucoup de lettres encore à écrire. Ne serait-ce déjà qu’à Louise, à Apolline (qui sait lire maintenant). Promenade jusqu’à la cale. Je suis rentré bizarrement épuisé. La SNCF commence une grève hachée à partir de ce soir. Amélie était inquiète pour son train. Il est parti comme prévu, mais dès Flers, les wagons étaient bondés, les gens debout ou assis par terre. Déjà que notre pauvre ligne ne fonctionne pas bien en temps normal. J’imagine que tu es contente d’être enfin arrivée à l’appartement...