J’ai envoyé à Olivia mon papier sur La danse sorcière de Karine Henry. Son deuxième roman où une danseuse (étoile) doit se défendre sans cesse contre d’inquiétantes obsessions, des sensations de terreur, d’effrayantes visions. Traumatismes d’enfance, manipulations perverses. Le texte fait un drôle de pas de deux avec la folie. Et ce roman de la part d’ombre se révèle aussi un roman noir : l’épilogue est… hitchcockien. Terminé aussi une brève pour Le Monde sur Le chemin de Macau de Jean-Marie Planes. Eric Loret s’en va à la fin du mois. Il ne m’aura pas fait beaucoup travailler.