J’ai reçu un courriel laconique d’Isabelle : Tu peux m’appeler stp ? J’ai pensé qu’elle voulait me demander de rendre mes papiers pour Next dans la journée (j’avais « négocié » jusqu'à lundi. Elle avait cédé, disant quand même Tu sais, le mois de février est vraiment court, court, court…). Mais ce n’était pas cela. J’ai une mauvaise nouvelle : Next s’arrête. Nous faisons le dernier numéro. Je n’ai rien pu répondre. Françoise-Marie m’avait demandé d’y écrire à l’automne 2010. Je perds la moitié de mes pauvres revenus. La peau de chagrin tient dans ma main. Je n’ai plus beaucoup de courage.