J’ai reçu un message de Marie-Ange Guillaume. Elle me remercie pour le papier sur son livre écrit autour de la mort de sa mère, Aucun souvenir de Césarée, paru dans le Next du mois de novembre. Je suis heureux que mes quelques lignes l'aient touchée. Elle parle des blessures d’existence, mais dans chacun des textes que j’ai lus d’elle, le ton reste léger. Elle est un rien triste, à peine nostalgique. Un peu à vif parfois. Jamais dans le regret ou l’amertume. Tendresse et coups de canifs. Ca ne saigne pas pour de vrai. Du moins ça cicatrise.