Nous avons préparé la maison pour l’arrivée des petites. Je terminerai les détails la semaine prochaine. Planté de grands piquets au jardin pour guider les deux Albéric Barbier grimpants vers le pergola. Nous sommes allés au potager cueillir les roses qu’Amélie emportera demain à Paris. Pas envie qu’elle parte. D’autant que, seul, je traîne mon temps. Le livre n’avance toujours pas. Il me reste un ou deux papiers pour Le Monde. Et plein de lectures de rentrée.