Jean-Louis est venu passer la fraiseuse dans le potager. Le sol est ameubli, aéré. Parfait. Je ne sais pas comment nous nous serions débrouillés sans lui. Il nous avait déjà labouré le terrain cet hiver. Presque tout était en friche. Maintenant, il ne reste plus qu’à planter. Sauf que le temps n’y est pas. Ce matin, l’herbe était encore couverte de gelée blanche.