Nous nous sommes levés avec un temps d’été. Bref marché à Sartilly. J’ai passé l’après-midi au potager avec Jean-Pascal. Desherbé, nettoyé. Bêché aussi un nouveau carré. Et si on plantait de ces dahlias géants, genre erebus ou imperialis ? Maintenant que nous partageons cette bande de terrain, tout me paraît possible. Je voudrais des haies pour cacher les voisins, des bordures de buis pour les carrés. Je rêve. L’endroit ne sera jamais à nous. Amélie s’était dévouée pour aller porter la voiture au contrôle technique vers Pontaubault. Nous avions laissé passer la date de plus d’un mois. Grâce à Fabien qui nous a trouvé un rendez-vous in extremis tout est rentré dans l’ordre.