J’avais promis à certains de ne plus rien écrire d’eux, même leur nom, dans ce journal. Je me suis fait, gentillement, rappeler à l’ordre. D’eux, je ne ne me suis laissé à dire guère plus que des rencontres, des émotions très simples. D’accord, c’est encore trop. Pourtant… J’ai pensé à cette phrase du tout début de La dame aux camélias de Dumas fils : Je me contente de raconter.