J’ai écrit pour Le Monde un papier sur Dernier train pour Buenos Aires de Hernán Ronsino. Il m’en reste beaucoup d’autres à rédiger. Et en même temps, je dois me remettre à cette dernière partie de mon livre sur laquelle, étrangement, je peine. Je crois que ces derniers mois, je n’ai jamais été aussi désorganisé. L’indécision est votre principal ennemi intérieur, m’avait dit Philippe quand je l’avais consulté en avril à Mexico. Je ne peux pas dire qu’il ait tort. J’ai été chercher Amélie à la gare. Elle est descendue la première du premier wagon. Nous avons bousculé notre hâte. Et puis, tout est à nous, à nouveau, maintenant. La saison est finie. Il n’y avait que moi sur le quai à attendre.