Sommeil tout agité de mauvais rêves. Un florilège de quêtes impossibles… Je m’égarais dans les rues, je ratais les rendez-vous, j’arrivais dans des gares pour voir les trains partir sans moi. Je me suis réveillé épuisé. Travaillé un peu. J’ai, en ce moment, quelque chose à franchir que je ne comprends pas. J’ai sorti les cactus du koetsch pour les installer au soleil, dans le grand plateau de cuivre, sur la table de jardin. Je les vois maintenant de la fenêtre de mon bureau.