.J’ai été chercher des huîtres chez Charuel. Georgette venait déjeuner. La veille, elle ne s’était pas fait prier. Pourquoi pas ? Pourquoi pas ? Elle a mangé de bon appétit. Trouvé le rosbif tendre, le ragoût de pommes de terre fondant. Bu du cotes-du-rhône avec plaisir. Il est vraiment bon. Après un deuxième café, elle a voulu nous accompagner aux Fontenelles. Elle a marché à tout petits pas jusqu’au fond du potager. Eté voir ses rosiers de l’Humelière. Son pommier. Les cassis et les framboisiers. Maintenant je dois rentrer. Elle était fatiguée, souffle rare. C’est la marche. Et puis, comme d’habitude : Mais ça va, ça va. Ca va aller.