J’ai corrigé les épreuves de Montée des cendres. Resserré à nouveau le plan de mon livre. Encore une journée de ce travail-là et tout sera clair. Enfin, j’espère. Je brouillonne encore. Et je n’en ai plus le temps. Amélie avait acheté des huîtres au marché que nous avons apporté à Georgette. Nous les avons mangées avec elle à l’heure du vin blanc. Le pneumologue qui l’a vue hier a été plutôt rassurant, mais il faut qu’elle prenne du poids. Je me force à manger, pourtant. Dans l’après-midi, Amélie lui a cuisiné des gratins.