Débarras aux Fontenelles. Il fallait faire de la place pour pouvoir garer la 4L. Nous avons passé la journée en allers-retours à la déchèterie. Balancé les tables roulantes rouillées, les meubles moisis, la ferraille, les planches gondolées, les valises de vêtements, les appareils ménagers cassés. Restent trois malles pleines de berloufes à trier, une masse de cartons remplis d'archives, de courrier, des sacs avec, en vrac, de bibelots, des jeux, des livres, les souvenirs des Beaux-Arts de Marie, ses toiles, son matériel, son tricycle d'enfant. Les vélos. Des outils, de la peinture. Plus les affaires que Noëlle nous a déposées au moment de la mort de sa mère. La voiture entre tout juste.